Aquella vez sintió el dolor más dentro, más profundo, de otra forma. Como un dolor perdido en la noche de los tiempos, como cuando careces de nombre, como cuando andas ido, vacío de todo, con la mente ausente, paseando por las calles como mendigo, sin bienes, sin alma, como cuando pierdes a un hijo.
Miró a su perro, pero no le dijo nada, ni tan siquiera, esa vez, con la mirada.
Una hilera de cipreses se erguía en el camino, perdiéndose allá, en la lejanía más lejana, y en el tiempo, en la línea del horizonte, anunciadores de algo, símbolo de sueños fallecidos, el último reducto de la intimidad cercenada, sus sueños. Un espacio desaparecido, un tiempo desaparecido, una vida desaparecida, todo diluido, incluso la palabra, en una nada ausente de luz. Los miró y fijó la vista en el final hasta que sintió dolor. Cerró los ojos y se los restregó con el dorso de las manos.
Recordó aquel poema:
Miró a su perro, pero no le dijo nada, ni tan siquiera, esa vez, con la mirada.
Una hilera de cipreses se erguía en el camino, perdiéndose allá, en la lejanía más lejana, y en el tiempo, en la línea del horizonte, anunciadores de algo, símbolo de sueños fallecidos, el último reducto de la intimidad cercenada, sus sueños. Un espacio desaparecido, un tiempo desaparecido, una vida desaparecida, todo diluido, incluso la palabra, en una nada ausente de luz. Los miró y fijó la vista en el final hasta que sintió dolor. Cerró los ojos y se los restregó con el dorso de las manos.
Recordó aquel poema:
Las imágenes
se amansan en el agua,
pero no descansa el alma,
sino que fluye sin fin,
portadora del enigma
de su constancia.
8 comentarios:
Precioso, Diego. El dolor intenso tan cercano, okupa del corazón, y tan lejano pero sin fin a lo largo de esa hilera de cipreses. Me ha encantado esa imagen y toda la composición en general por lo que transmites en fugaces fotogramas: la soledad del dolor inevitable.
Y el poema como resumen en clave poética de lo dicho, es pura catarsis. Es magnífico, francamente ¿Es tuyo?
Muy bueno, Diego. Un placer leerte. Un beso.
Gracias Marisa. Me alegro de que te guste, la imagen y la composición general. Es un placer sentir que se siente y se reconoce la globalidad, la apretura y el cierre, el concepto.
Muy agradables tus palabras, y bellas.
El poema no es mío, yo no tengo esa capacidad poética, ya me gustaría.
El placer es mío por que tú me leas.
Un beso.
Diego
Transmites muy bien los sentimientos. Has conseguido hacerme sentir, por momentos, como si hubiera perdido a alguien. Te felicito por ello :D
Un beso!
Hola!
Mira, te invitamos a un torneo bastante peculiar:
http://loscaballerosdeladamadecristal2.blogspot.com
Esperamos que participes.
Saludos,
Los Caballeros de la Dama de Cristal
PD: Si no pasas la edad, puedes invitar a otro a participar. También puedes ayudar colocando nuestro banner, claro, solo si lo deseas.
je sue le jour de ma genèse(naissance)
que la route serait sévère (dur)
à genoux devant ses tombeaux
d'une autoroute septentrionale
je ne pouvais voir l'océan
sur ce cargo-fantôme géant
gémissait les cornes de brume
qui clignote au ras de l'écume
bruit du flat-six et longue-distance
d'une autoroute septentrionale
dans le cambouis de mon silence
exil blême dans un brouillard vertigineux
d'un port au bout de l'ennui aux longs dédales mystérieux
d'une autoroute septentrionale
qui prie pour les années-lumière
de luminosité blessée d' une ombre solitaire
à la clarté d'un brasero (bras zero)
à genoux devant ses tombeaux
d'une autoroute septentrionale
ne voulant pas rester dans le noir
Avant la fin de l'histoire
sortant de ce trou beant
du transcendantal neant
d'une autoroute septentrionale
j'eus croisé les feux de l'amour
sur ce vieux téléviseur qui zappé sans cesse a l'éternel retour
de ses drôles de gnomes en culottes courtes incipides et malicieux
au bout de mon ennui aux longs dédales mystérieux
d'une autoroute septentrionale
à genoux devant ses tombeaux
les potards (humain) sur danger d'amour
mon chargé à dix mille giga-octets
sur le point temps qui rincait leur libido de bletter sur tous
mes transistors (sens)
mais je me suis dit je préfère les marshmallows
aux indigènes qui s' appellent bonheur cachant leurs fureurs
sur l' autoroute septentrionale
à genoux devant ses tombeaux
Ce calme étrange au bord du stress
fût ainsi mon seul et reel ami
pour comprendre ses piètres morveux distraits
qui ne savaient que m' estropier
un peu plus tout les jours
sur l' autoroute septentrionale
Ma genèse ne cessait de me dire
ton paradis est trouble
et l'enfer est malade
Alors ton coeur à nu dépose
Dans ton septembre rose
sur l' autoroute septentrionale
à genoux devant ses lambeaux
Les photos se dispersent
Au rythme des marées
Et sous les feux adverses
On m'arrache ma pitié
Moi j'écoute vos sommeils
Et j'étudie vos rêves
Et je ne suis plus pareil
Quand le soleil se lève
sur l' autoroute septentrionale
je crains mes d'amertumes
mais se sont vos fièvres d'incertitudes
qui rend mon vin si amer
à genoux devant ses lambeaux
___________________________________________
26 septembre d'une année dans le trou de ma mèmoire
et ma colère qui monte
et ma haine accrochée
en visionnant les miroirs
de ces vies déchirées
Aux pieds des cycomores aux cycles des morts vivants
rappellent un jamais plus
sur nos froides statues
enfièvres d'incertitudes
Alors me voici avec ma certitude
Je n'irai pas jusqu'a planter excalibure
dans ma poitrine
mais ne conjurerais mon sort
lorsque l'épée de damoclés
se plantera là droit dans ma vie clée de sol
sur toutes notes de ce vieux piano
d'enfant que j'ai reaccodée mainte et mainte fois
comme pour dire comme si j'avais 3 ans
je ne n'aurai pas voulu connaître le chiffre 4
sur l' autoroute septentrionale
de mon septembre qu'on m'avait promis rose
__________________________
juste quelques mots resumant un peu rien un peu tout
ou peut être que de la poèsie
un beso de paris
Elisabeth
Gracias María. Si te ha emocionado es que lo has sentido, y eso dice de ti; y ees el propósito al escribir, transmitir y provocar emociones.
Mil gracias.
Un beso.
Diego
Para los del torneo.
Agradezco el detalle, pero no me gusta participar en torneos, justas ni nada de eso, no va conmigo. Yo sólo escribo por el placer de hacerlo.
Os deseo suerte en vuestro proyecto.
Un saludo.
Diego
Un beau poème, Elisabeth. De l´automme, terrible à certains moments, plein d'espoir dans d'autres. Mais très agréable quand même. J'apprécie vos mots, votre cadeau ici. De même que votre baiser à Paris.
Un autre pour vous, espagnol, dans ce cas.
Diego
Publicar un comentario